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Marcel Carné: admiré puis honni, et vice versa

Un réalisateur de talent qui a aussi fait tourner Jacques Brel.

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Journaliste Temps de lecture: 3 min

À travers une vingtaine de films allant du milieu des années 30 avec le fameux « Drôle de drame », jusqu’au lendemain de mai 68 et « Les assassins de l’ordre » mettant en exergue mieux que jamais le formidable charisme dont était capable notre éternel Jacques Brel, Marcel Carné aura marqué de son empreinte définitive un cinéma français jadis égal des autres. Après la diffusion de l’« Hôtel du Nord » originellement tiré du roman éponyme de l’écrivain prolétarien Eugène Dabit, revu et marqué par le style dialoguiste de Jacques Prévert – dont le fameux «  Atmosphère ! Atmosphère ! Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère !  » lancé à la tronche d’un Louis Jouvet médusé –, le documentaire de François Aymé retrace en moins d’une heure le parcours du grand metteur en scène, né quasi-orphelin dans le quartier des Batignolles du dix-septième parisien, le 18 août 1906, et disparu à l’âge de 90 ans dans sa retraite des Hauts-de-Seine.

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