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Dans la peau de Gustave Eiffel

Le biopic sur l’ingénieur français a misé sur Romain Duris. Une idée surprenante si on compare le physique des deux hommes.

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Du petit rebelle…

La versatilité de Romain Duris s’exprime déjà avant le début de sa carrière. Il faut dire qu’il n’avait pas prévu d’être comédien. Son truc à lui, c’étaient les arts appliqués… avant qu’il ne les lâche pour la musique. Et avant qu’il ne croise le directeur de casting du « Péril jeune » de Cédric Klapisch dans la rue. Celui qui le dirigera dans un total de sept films parvient en effet à canaliser l’irrévérence de sa jeunesse, tout en le rendant profondément sympathique aux yeux du grand public. Deux ans plus tard, c’est Tony Gatlif qui capte ce vent de rébellion tendre dans « Gadjo Dilo ». Et bientôt Olivier Dahan dans « Déjà mort ». Deux cinéastes que Duris retrouvera presque aussi souvent que Klapisch, témoignant tant de son sens de la fidélité que de celui de la création collective.

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