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Lahaye d’horreur

L’édito de Marc Pasteger.

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Rédacteur en chef jusqu’à son décès en 2022 Temps de lecture: 2 min

La gloire, la lumière, le pouvoir figurent parmi les armes les plus redoutables de la séduction. Les chanteurs, par exemple, ont toujours fait fantasmer un public essentiellement féminin. Et ont ainsi vécu des histoires hors du commun. C’était autrefois Tino Rossi qui, devant un grand hôtel bruxellois, vit une jeune femme se jeter sur le capot de sa voiture alors que celle-ci roulait encore (certes au ralenti). L’admiratrice « voulait » tellement Rossi qu’elle était prête à prendre tous les risques ! Plus tard, Julio Iglesias trouva dans sa chambre une ravissante créature nue qu’il ne songea pas un instant à mettre à la porte. Sans doute parce que la belle n’avait rien sur le dos… Ce que l’on ressort aujourd’hui de la vie de certaines idoles des années 70 n’a plus du tout le même visage. Quand la RTBF montre un Claude François « faisant son marché » parmi les ados qui pouvaient passer des heures au bas de l’immeuble du dieu vivant, le malaise s’installe.

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