À la télé ce soir: «Noir comme neige» ou «Dossiers tabous» (vidéos)
Voici notre sélection de ce mercredi 17 novembre, à ne pas manquer !
« Noir comme neige » à 21h10 sur France 2
Alors que la saison bat son plein dans la station de ski Nobleval, l’adjudant au Peloton de la Gendarmerie de la Haute Montagne Constance Vivier et le policier suisse Andreas Meyer, enquêtent sur la mort suspecte d’un adolescent retrouvé gelé sur une piste, suite à un coma éthylique.
« Dossiers tabous » à 20h30 sur RTL TVI
Le magazine de société proposé par RTL TVI est présenté par Christophe Deborsu. Cette semaine, il se penche sur « comment devenir riche ? ». Et la réponse commence par la négociation. A découvrir à 20h30.
Les étoiles de Dominique Deprêtre
La future Big Apple a été entièrement reconstituée à Cinecitta pour le tournage de ce brillant drame d’ambiance en costume qui bénéficia du concours de Daniel Day-Lewis, après les refus de Robert De Niro et Willem Dafoe, pour affronter Leonardo DiCaprio. L’échec commercial fut tout aussi incompréhensible qu’aux Oscars où le titre est rentré bredouille en dépit de dix nominations!
Véritable apologie de la violence et du sordide, cet hallucinant thriller aux accents fantastiques est sorti deux ans avant les attentats du WTC. Un film aussi malsain que troublant, rappelant un peu un autre film culte, l’«Angel Heart» d’Alan Parker, avec Mickey Rourke et Robert De Niro. Cette fois, le duel oppose Brad Pitt et Edward Norton. Il faut vraiment s’accrocher, on est prévenu!
Les producteurs ne voulurent pas d’Elliott Gould qui venait pourtant de faire ses preuves dans le mémorable «M.A.S.H.» du même auteur, contraints d’engager Warren Beatty aux côtés de la belle Julie Christie dans ce western crasseux au possible, qui fait longtemps attendre son duel final. Notons la partition tout naturellement chantée de l’artiste multidisciplinaire et québécois de Westmount, Leonard Cohen, dont on reconnaît le style unique après trois notes.
Pire ou mieux – c’est selon – qu’«American Pie»: l’humour gras des grands ados américains dans toute sa splendeur! Qu’on aime ou qu’on déteste, on sait au moins à quoi s’attendre, c’est-à-dire au pire. Mais il y a des fois où le pire est drôle. Et ça aussi, il faut le reconnaître…
Trop écrit à la façon d’une pièce de boulevard, l’ouvrage peine manifestement à garder un vrai rythme et surtout une réelle cohérence, ce qui est d’autant plus indispensable quand il s’agit d’un récit sans véritable personnage principal. À défaut, admettons qu’il y a quand même quelques moments assez hauts en couleur.