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Agnès Martin-Lugand: «J’ai livré des parcelles de mon inconscient»

Le roman poignant d’Agnès Martin-Lugand happe par la justesse et la puissance de ses sentiments.

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Journaliste au Soirmag Temps de lecture: 3 min

Deux êtres que tout semble opposer, une femme condamnée par la maladie et un homme suicidaire. Chacun raconte son vécu, ses tourments, ses espoirs, son rapport à la mort et l’amour fou. Celui qui chamboule une vie, qui détruit comme il sauve, qui réunit malgré les épreuves.

La lutte entre la vie et la mort vous a inspirée pour écrire ?

À l’origine de ce roman se trouve le personnage de Joshua. Il s’est imposé à moi avec sa fureur, ses démons, son addiction à l’alcool. Je sentais aussi que la mort rôdait autour de lui. Je me suis demandé qui pourrait venir en miroir. Madeleine est arrivée, sans me dire au départ qu’elle était condamnée. Elle me l’a chuchoté plus tard. J’ai déjà beaucoup parlé de la mort dans mes livres précédents, mais du côté du deuil. Joshua et Madeleine m’ont permis de mettre en mots mes propres conflits intérieurs, avec cette pulsion de vie.

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