Essai de la Mercedes GLC: dynamique, confortable et électrifié
Le GLC est, depuis sa naissance en 2008, le best-seller de Mercedes. Pour cette nouvelle génération, il gagne en performance, en sobriété et en confort.
Depuis sa mise sur le marché, le GLC cartonne. Plus de 2,6 millions d’exemplaires écoulés en 14 années d’existence, c’est une performance qui donne le tournis. Pas facile, donc, pour le constructeur allemand de changer un modèle tant apprécié de sa clientèle. La solution ? Procéder par petites touches, sans tout bouleverser, mais proposer quand même des nouveautés qui améliorent la voiture, tout en respectant les canons de la marque. Un SUV n’est pas une GT, l’aérodynamisme n’est donc pas la priorité. Le précédent GLC était pourtant déjà pas mal, et le nouveau gagne encore quelques « points » : un Cx de 0,29, c’est assez remarquable pour la catégorie. Avec ses lignes fuyantes, vu de côté, ce GLC a des petits airs de break ! Au niveau du look, c’est surtout la face avant, entièrement retravaillée, qui marque une différence sensible par rapport au modèle précédent. Si ce nouveau GLC séduit au premier regard, c’est une fois dans l’intérieur luxueux et sportif qu’on est véritablement conquis. Tout a été pensé pour le confort du conducteur et de ses passagers.