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Emmanuel Mouret: «Mes personnages aiment autant parler que faire l’amour»

Avec sa délicieuse « Chronique d’une liaison passagère », Emmanuel Mouret persiste et signe dans le romantisme verbeux qui a fait son succès.

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Temps de lecture: 3 min

Comment est née cette histoire d’une relation sans attache amoureuse entre Sandrine Kiberlain et Vincent Macaigne ?

On m’avait proposé d’animer un atelier d’écriture de scénarios dans un festival. Parmi les participants, il y avait un acteur qui a écrit deux scènes très chouettes. Je l’ai encouragé à continuer d’écrire, et comme on a sympathisé, il m’a envoyé son travail. Au bout d’un certain temps, j’ai réalisé que ses idées me stimulaient. Je lui ai demandé s’il était prêt à me les céder. En partageant bien sûr la paternité du scénario, mais que je voulais adapter à ma façon.

Vous écrivez aussi. Qu’y avait-il de si séduisant dans son histoire ?

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