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L’histoire derrière l’incassable couque de Dinant

L’histoire à table de la semaine.

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Journaliste Temps de lecture: 3 min

S’il est une spécialité belge à ne pas se mettre sous la dent avant d’en avoir dûment mesuré les conséquences, c’est bien la couque de Dinant ! Car même si c’est à cela qu’elle s’apparente le plus, on ne peut pas vraiment dire qu’il s’agisse d’un biscuit, dont elle ne partage ni la double cuisson ni le craquant. À vrai dire, elle ressemble bien davantage à un bonbon géant qu’il serait impératif de casser – tant que faire se peut - en menus morceaux, avant de le suçoter longuement. De ce côté-là, on peut dire que la couque de Dinant a un rapport qualité/prix/longévité extraordinaire. Composée uniquement de deux ingrédients - de la farine de froment et du miel -, elle est au sortir du four aussi dure que la pierre. Mais son goût caramélisé inimitable rattrape tout et en fait, pour les touristes qui en emportent un exemplaire, un souvenir qui durera trèèèès longtemps…

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