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Bernard Werber: «Le livre est l’objet le plus puissant au monde»

Bernard Werber nous plonge avec réalisme au cœur de l’art de la stratégie dans une partie d’échecs à grande échelle.

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Journaliste au Soirmag Temps de lecture: 3 min

Nicole O’Connor et Monica Mac Intyre sont deux femmes que tout oppose. L’une croit à la puissance du collectivisme, l’autre à celle de l’individualisme. Des années 1970 à 2050, elles vont s’affronter avec rage sur un échiquier géant, la planète entière. Entre guerres, vengeance et espionnage, elles s’opposent sans relâche, forgeant dans l’action la force de leurs convictions. Qui remportera le duel ?

C’est un ami qui vous a inspiré ce roman opposant l’individualisme au collectivisme ?

Oui. Cet ami, qui n’a pas de bras ni de jambes, a un jour failli se faire piétiner par la foule à la sortie d’un métro. Quand il m’en a parlé, j’ai été touché car cela m’évoquait une vraie peur : celle des autres. Je suis alors parti sur le thème des foules et leurs pouvoirs.

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