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Panzeri, le traître

L’édito de Benoît Franchimont.

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Rédacteur en chef Temps de lecture: 2 min

On ne voudrait pas être à la place de Marc Tarabella. Le placide député européen d’Anthisnes, à qui on aurait donné le Bon Dieu sans confession, n’a pas encore été entendu par la justice, mais il est déjà désigné comme l’un des corrompus du Qatargate, exclu du PS et accusé d’avoir touché plus de 120.000 euros pour défendre les prétendues avancées démocratiques du Qatar. L’enquête dira ce qu’il en est. Tarabella est directement envoyé dans le fossé par Pier Antonio Panzeri, ex-député italien, qui a signé un pacte avec la justice belge. Pour la deuxième fois (la première, c’était avec Dejan Veljkovic, accusé du Footbelgate), le parquet fédéral a donné le statut de repenti à un inculpé, négociant avec lui une peine réduite contre une collaboration entière.

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