Stephen Frears se frotte à nouveau à la monarchie britannique
Près de vingt ans après « The Queen », le réalisateur en remet une couche avec «The Lost King».

Qu’est-ce qui a piqué votre intérêt dans cette histoire, bien réelle, d’une historienne amateure cherchant à réhabiliter la réputation de Richard III en retrouvant ses os ?
L’idée d’un roi britannique gisant sous le parking d’un centre de services sociaux est drôle en soi, non ? J’y ai donc vu une comédie dès le départ. J’ai ensuite appris que le travail de Philippa Langley avait été très dur et que l’université de Leicester l’avait assez mal traitée. Il y avait tous les éléments d’une bonne histoire, pas trop conventionnelle.
Aviez-vous suivi l’affaire avec intérêt en 2013 ?