Test du jeu vidéo Itorah: un metroidvania accessible
Le petit studio allemand Grimbart Tales tente une approche différente des autres avec un titre censé rendre plus accessible un genre qui s’adresse par défaut à un public élitiste.

Dans un futur lointain, l’humanité a disparu. Itorah semble être la dernière représentante de l’espèce humaine. Cette jeune fille de culture amérindienne part à la découverte d’un monde qui lui est étranger, et rempli de dangers. Là où le jeu séduit, c’est dans son univers coloré, qui s’inspire en grande partie des mondes amérindiens avec ses forêts denses et ses temples abandonnés. Copiant presque à l’identique la formule d’un metroidvania, « Itorah » se veut en fait une alternative accessible et potentiellement l’une des meilleures approches du genre pour les jeunes joueurs. Le jeu offre en effet un tutoriel simple et très clair et, surtout, ne vous oblige pas à refaire la moitié d’un niveau à chaque mort. Celle-ci n’est absolument pas punitive puisqu’après un décès, on réapparaît quelques mètres plus tôt.