Le compositeur et trompettiste japonais Jun Miyake a travaillé notamment avec Pina Bausch, Wim Wenders, Robert Wilson, Oliver Stone, Jean-Paul Goude, Philippe Decouflé, ou encore Arto Lindsay. Son travail sur le film documentaire "Pina", de Wim Wenders, a été particulièrement remarqué.
Pour cette carte blanche, Kyle Eastwood n'est pas accompagné uniquement de son quintette. Il a convié deux chanteurs : Hugh Coltman et Camille Bertault.
Un florilège d'extraits musicaux, une façon différente et extrêmement variée de découvrir la musique, les interprètes et les orchestres.
Après une grande querelle entre Oberon, le roi des fées et sa femme Tytania, l'harmonie naturelle de la forêt magique est en danger. Ce n'est que le début de la confusion, des identités mixtes et des transformations soudaines, causées par leur intransigeance et leur désir de vengeance.
Berliner Philharmoniker, Daniel Barenboim (direction) Wolfgang Amadeus Mozart (1756 - 1791) Concerto pour piano n°27 en si bémol majeur K. 595 Enregistré en 1989 à la Siemens-Villa, Berlin Réalisé par Jean-Pierre Ponnelle
Appartenant encore à la période polonaise du compositeur, ce concerto fut écrit juste avant l'exil et exécuté publiquement à Varsovie le 11 octobre 1830. On considère cette pièce comme une oeuvre de jeunesse, insuffisamment aboutie, mais portant cependant la marque d'un génie propre.
Réalisé par Christopher Nupen 1970 était le 200e anniversaire de la naissance de Ludwig van Beethoven et, pour marquer l'occasion, Daniel Barenboim et Christopher Nupen ont collaboré pour une série en treize épisodes sur l'homme et sa musique. Des amis proches à l'époque, Barenboim et Nupen étaient à l'aube de longues et illustres carrières. Une grande partie du matériel qu'ils ont tourné n'a jamais été diffusée pendant un demi-siècle. Aujourd'hui, la série est ressuscitée dans sa forme originale. Au cours des épisodes, Barenboim parle et joue des extraits au piano, illustrant les caractéristiques déterminantes des compositions de Beethoven et partageant sa vision personnelle de l'état d'esprit du compositeur. Il s'adresse directement à la caméra, ajoutant à l'intensité du récit.
Un voyage musical retraçant la progression de Beethoven dans le contexte de ses contemporains tels que Mozart et Haydn. Plus de vingt compositions sont interprétées et décortiquées.
Réalisé par Christopher Nupen 1970 était le 200e anniversaire de la naissance de Ludwig van Beethoven et, pour marquer l'occasion, Daniel Barenboim et Christopher Nupen ont collaboré pour une série en treize épisodes sur l'homme et sa musique. Des amis proches à l'époque, Barenboim et Nupen étaient à l'aube de longues et illustres carrières. Une grande partie du matériel qu'ils ont tourné n'a jamais été diffusée pendant un demi-siècle. Aujourd'hui, la série est ressuscitée dans sa forme originale. Au cours des épisodes, Barenboim parle et joue des extraits au piano, illustrant les caractéristiques déterminantes des compositions de Beethoven et partageant sa vision personnelle de l'état d'esprit du compositeur. Il s'adresse directement à la caméra, ajoutant à l'intensité du récit.
Beethoven a composé le "Concerto pour piano n°3" tout juste après l'écriture du "Testament de Heiligenstadt" et peu avant sa Troisième symphonie.
Un florilège d'extraits musicaux, une façon différente et extrêmement variée de découvrir la musique, les interprètes et les orchestres.
Au programme : "L'Oiseau de feu" ballet pour 22 danseurs, chorégraphie de Thierry Malandain et "Le Sacre du printemps", ballet pour 18 danseurs, chorégraphie de Martin Harriague, d'Igor Stravinsky.
Composé en 1786, le concerto pour piano en ut mineur a été achevé en même temps que le concerto n°23. Il comprend trois mouvements : "Allegro", "Adagio" et "Allegro Assai".
Composé par Beethoven en 1806, à peu près en même temps que sa quatrième symphonie, de son concerto pour violon et de sa sonate Appassionnata, le Concerto n°4 a été joué deux fois seulement du vivant de Beethoven.
Composé en 1786, le concerto pour piano en ut mineur a été achevé en même temps que le concerto n°23. Il comprend trois mouvements : "Allegro", "Adagio" et "Allegro Assai".
Au programme : Oeuvres de de Wolfgang Amadeus Mozart : "Symphonie n°33" ; "Symphonie n°38" ; "Airs de concert" ; "Concerto pour piano n°24".
La pianiste géorgienne Khatia Buniatishvili joue avec l'Azerbaïdjanais Alim Qasimov. Ensemble, ils interprètent des airs de mugham, la musique traditionnelle azérie.
Au programme : "Ouverture de l'Opéra "Koroglu"", de Uzeyir Hajibayli ; "Concerto no. 2 pour tar et orchestre", de Haji Khanmammadov ; "Symphonie à la mémoire de Nizami Ganjavi ", de Fikret Amirov ; "Symphonie no. 4", de Arif Melikov.
Au programme : Oeuvres de Brahms : "Symphonie n°3" en fa majeur, op. 90 ; "Symphonie n°4" en mi mineur, op. 98.
Au programme : Oeuvres de de Wolfgang Amadeus Mozart : "Symphonie n°33" ; "Symphonie n°38" ; "Airs de concert" ; "Concerto pour piano n°24".
Trois versions et visions différentes du ballet classique, présentées à travers trois chorégraphies qui forment ensemble "Swan Lakes" au pluriel.
Avec la sonorité lyrique qui l'a rendu célèbre, Tigran Hamasyan revisite des standards de jazz américains des années 1920 à 1950, mêlant sonorités arméniennes et jazz.
Ce concert est un hommage à l'album innovateur "Tutu". Pour cette performance, Marcus Miller a invité de jeunes musiciens, comme Christian Scott et Alex Han, pour jouer à ses côtés et pour réinterpréter "Tutu".
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