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Bruegel l’Ancien: l’année d’un géant

Il est mort il y a 450 ans. L’occasion de (re)découvrir l’artiste, un peu partout en Belgique.

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Journaliste Temps de lecture: 5 min

« La tour de Babel », « Le dénombrement de Bethléem », « Les mendiants », « Margot la folle », « Les proverbes », « La chute d’Icare », « Paysage d’hiver avec patineurs et trappe d’oiseaux », « Danse de noces en plein air », « L’adoration des mages sous la neige », « Le massacre des Innocents »… On ne sait quel tableau est le plus fascinant. Tous disent l’immense talent de Pieter Bruegel l’Ancien. Et sa multiplicité. Tantôt l’homme peignit des scènes fantastiques où grouillent des monstres effrayants, héritant en cela de l’univers de Jérôme Bosch, tantôt il représenta des paysages apaisés, tantôt des scènes bibliques, tantôt des morceaux de vie, des fêtes populaires, des villages sous la neige…

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