Les mystères du clan de l’arbalète
Sexe, armes médiévales et bouquins branchés sur l’au-delà : au moins cinq morts connectées, en Allemagne, font croire à un suicide très préparé.
Les histoires de gourous qui tuent passionnent autant qu’elles inquiètent. C’est le cas en Allemagne avec le « clan médiéval » qui, selon la justice et la police, semble s’être entre-tué ou suicidé à l’arbalète. Pourquoi ? Y a-t-il d’autres « victimes » cachées ? Il est trop tôt pour être affirmatif. Le samedi 11 mai, une femme de chambre poussant la porte d’une pension de Passau, en Bavière, a découvert les armes d’une première série de morts mystérieuses : trois arbalètes comme on en utilisait au Moyen Âge. Une arme pas si facile à manipuler, qui demande un entraînement soutenu pour diriger les « carreaux » (les flèches) avec précision.