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Bruno Coppens: «Mes échecs m’ont aidé»

Il sort un « Guide de développement très personnel » et joue « à pile ou farce ».

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Journaliste Temps de lecture: 3 min

À vous lire, en fait, l’échec, c’est un bonheur. On peut en rire !

Exactement. Cette mentalité existe en Amérique du Nord. Là, on valorise ceux qui ont failli puis qui ont rebondi ; ici, on est foutu ! Au Japon, c’est pire, c’est hara-kiri. Du coup, je joue avec la notion d’échec/réussite pour changer le regard. J’ai développé une méthode en trois points car la réussite n’est pas l’acmé du salut… Regardez Jeanne d’Arc ou Jésus, deux réussites post mortem. Alors, c’est quoi la différence entre celui qui réussit et celui qui marine dans son jus ? Visez-moi Trump : est-il le signe du déclin de l’Amérique ? Sans doute. Pourquoi les Américains adhèrent-ils à ce type qui ne ressemble à rien ?

Rassurez-nous, vous ne vous considérez pas comme un artiste raté ?

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