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Gabriel Matzneff: les mauvais démons d’un «chasseur»

Loué hier, infréquentable aujourd’hui, Gabriel Matzneff raconte ses amours enfantines depuis 35 ans. Une autosatisfaction qui ne passe plus.

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Journaliste Temps de lecture: 4 min

Cet homme-là a longtemps professé son amour physique de jeunes garçons et filles sans jamais se poser de questions. Il a étalé ses aventures dans la presse et des livres sans grand succès mais suffisamment sulfureux pour provoquer un malaise. Il n’a jamais vraiment été inquiété. Mais aujourd’hui, avec la vague metoo, la parole se libère. Une de ses jeunes amantes, qui avait 14 ans à l’époque de leurs relations, jette un pavé dans la mare. Vanessa Springora est directrice des éditions Julliard, mais c’est chez Grasset qu’elle publie son brûlot, « Le consentement », récit hanté d’une jeunette et d’un pervers pédophile au talent repoussant.

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