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Les 4 vérités de Maurice Demolin sur l’assassinat d’André Cools

Trente ans après l’assassinat d’André Cools, son ami liégeois prend la plume et charge l’ex-ministre Van der Biest. Extraits choisis.

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Rédacteur en chef Temps de lecture: 6 min

En juillet prochain, cela fera 30 ans qu’André Cools était assassiné à Cointe par deux tueurs à gages tunisiens, qui blessaient également sa compagne, Marie-Hélène Joiret. À Tunis, après un procès de huit heures à peine, les deux tueurs ont été condamnés en 1998 à 25 ans de prison. Ben El Amine Abdelmajid et Ben Rajib Abdeljalil avaient été recrutés pour abattre un « parrain de la drogue », manipulés par les vrais commanditaires. Les organisateurs présumés de l’assassinat ont été condamnés six ans plus tard. Des collaborateurs et proches du ministre socialiste Alain Van der Biest (Richard Taxquet, ancien secrétaire particulier, Pino di Mauro, ancien chauffeur, Cosimo Solazzo et Domenico Castellino) ont écopé de 20 ans. Alain Van der Biest, qui s’est suicidé en 2002, n’a jamais été jugé aux assises. Sa mort a clos la procédure judiciaire qui était également ouverte à son encontre.

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