Pourquoi le Saint Suaire serait authentique
Une nouvelle étude du « Linceul de Turin » remet en question les recherches de 1988 qui avaient conclu à un faux du Moyen Âge.
« Son existence est comme une épine dans le pied des non-croyants. » Le mot est d’André Magne, un mathématicien et conférencier français passionné par le mystère que représente le Linceul de Turin. Celui que les croyants appellent le « Saint Suaire », soit le linge sépulcral qui aurait servi à envelopper le corps de Jésus-Christ à sa descente de la croix au soir du vendredi 3 avril de l’an 33 (ou bien le 7 avril 30) après lui-même.
Le « roi des Juifs » aurait été enseveli dans cette pièce de tissu dans un tombeau non loin de la colline du Golgotha où il a subi son Calvaire. Trois jours plus tard, ce même sépulcre était retrouvé vide de tout corps. Ne restait que ce linceul porteur d’un mystérieux imprimé.