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Isabelle Adjani porte un collier à 3,7 millions d’euros dans «Diane de Poitiers»: «Il y avait quatre gardes du corps»

Le tournage du téléfilm en deux parties « Diane de Poitiers » avec Isabelle Adjani a nécessité quelques arrangements, notamment sur le plan de la sécurité.

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Ce soir à partir de 21h10 sur France 2, vous pourrez voir le téléfilm en deux parties sur la courtisane la plus mystérieuse de l’Histoire de France. Pour ce téléfilm réalisé par Josée Dayan, aussi à la réalisation de « Capitaine Marlean », des moyens conséquents ont été déployés pour assurer la sécurité du tournage mais surtout des bijoux sur le plateau.

Dans un entretien pour TV Magazine, elle explique avoir voulu des vêtements correspondent au XVIe siècle. Quelques écarts ont dû être réalisés cependant : « La cape qu’Isabelle porte sur les toits de Chambord est conçue en toile de parachute. Évidemment, ce n’est pas une matière d’époque ! » Mais pour les bijoux de la courtisane que porte Isabelle Adjani, la réalisatrice les a fait réaliser : « Les bijoux d’Isabelle, quant à eux, ont été fabriqués pour le film. Néanmoins, il y a en particulier un collier d’émeraudes de Van Cleef & Arpels que l’héroïne porte. C’est un présent que lui fait Henri II au moment de son couronnement à Reims. Ce bijou coûte 3,7 millions d’euros », explique-t-elle au magazine.

Une assurance et quatre gardes du corps

Avec un tel bijou sur le plateau de tournage, il a fallu mettre en place des moyens bien spécifiques. Josée Dayan ajoute d’ailleurs avec humour : « On avait l’intention de le piquer, mais c’était impossible. La maison de joaillerie a payé une assurance et quatre gardes du corps. On sentait qu’ils avaient des flingues dans les poches ».

La réalisatrice se dit ravie d’avoir eu la possibilité de tourner avec Isabelle Adjani : « J’ai eu la chance d’avoir Isabelle Adjani pour l’incarner. C’est une immense actrice et elle est magnifique. Elle allie sa beauté et son talent à son intelligence. Elle est unique. Quand on a entamé ce film, je lui ai demandé travailler main dans la main. C’est une fiction bicéphale dans la mesure où je voulais partager les décisions artistiques avec elle. Je souhaitais construire un écrin autour d’elle pour qu’elle se sente à l’aise et qu’elle donne le meilleur d’elle-même », explique-t-elle à TV Magazine. Rendez-vous ce soir pour retrouver l’histoire mystérieuse des alcôves de la cour de France à l’époque d’Henri II et de François Ier.

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