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Les particules fines liées au cancer du poumon

Chaque année dans le monde, 250.000 non-fumeurs décèdent d’un cancer du poumon. Une étude pointe des polluants de l’air.

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Journaliste Temps de lecture: 3 min

Apprendre que l’on est atteint d’un cancer du poumon alors que l’on n’a jamais touché une cigarette de sa vie est une nouvelle que l’on ressent de plein fouet, aussi incroyable qu’inacceptable. Personne n’avait encore jamais pu expliquer comment une telle chose était possible. Jusqu’à ce que, tout récemment, les résultats d’une étude scientifique menée par l’équipe du Pr Charles Swanton, du Francis Crick Institute et l’University College de Londres, mettent en évidence un lien manifeste entre les polluants de l’air et la survenue du cancer du poumon chez les non-fumeurs. De quelle sorte de pollution s’agit-il exactement ? Des particules fines présentes dans les gaz d’échappement des véhicules, dans la poussière de leurs freins ainsi que dans les fumées des combustibles fossiles, dont celles des incinérateurs de déchets. L’avis du Pr Swanton à cet égard est sans appel : ce sont, dit-il, « des tueurs cachés »

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