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À la télé ce soir: «John Wick 2» ou «Comme mon fils»

Votre sélection pour ce lundi 20 mars, à ne pas manquer !

Temps de lecture: 3 min

« John Wick 2 », à 20h05 sur Club RTL

Du genre vindicatif, John Wick a les nerfs à fleur de peau et c'est sans doute la raison pour laquelle il ne travaille plus que pour son propre compte. Toutefois, l'ancien tueur à gages est brutalement forcé de sortir de sa retraite volontaire par un de ses ex-associés qui cherche par tous les moyens à prendre le contrôle d'une mystérieuse confrérie de tueurs internationaux. Parce qu'il est lié à cet homme par un serment, John Wick décide alors de se rendre à Rome, où il va devoir affronter certains des tueurs les plus dangereux du monde. Parviendra-t-il à sortir indemne de cet ultime challenge ?

« Comme mon fils », à 21h10 sur TF1

Un petit garçon abandonné par sa mère croise le chemin d'un voyou en cavale qui décide de l'emmener avec lui. Entre des braquages de banque, la menace de la police et l'obligation d'être toujours en mouvement, l'homme et l'enfant vont apprendre à devenir père et fils, à s'aimer et être inséparables jusqu'à leur arrestation plusieurs années après leur rencontre.

Les étoiles de Dominique Deprêtre

« Rapt », à 22h35 sur ARTE - Quatre étoiles

de Charles Crichton (1952)

Une pure merveille de l’école réaliste du cinéma britannique d’après-guerre qui n’engendra pas que « Le troisième homme », « Huit heures de sursis » et « Brève rencontre » de Carol Reed et David Lean ! Dans ce drame de cavale, dont il est impossible qu’il n’inspirât pas « Un monde parfait » de Clint Eastwood et qui révéla Dirk Bogarde, on reconnaît aussi l’Oxfordien Geoffrey Keen, futur ministre de la Défense de Sa Majesté dans six « James Bond », dont cinq de l’ère Roger Moore.

« La mule », à 20h30 sur La Une - Trois étoiles

de Clint Eastwood (2018)

Cette histoire d’un octogénaire aux abois qui se lance dans le trafic de drogue ne manque ni d’originalité ni d’un certain courage. Exploitant la base d’une histoire authentique, l’auteur de « Gran Torino » – qui a cette fois rappelé sa fille Alison à la rescousse – sait toujours y faire, même si on est tout de même assez loin du chef-d’œuvre mentionné.

« La dentellière », à 20h50 sur ARTE - Trois étoiles

de Claude Goretta (1977)

Prix œcuménique à Cannes, cet émouvant drame de l’incompréhension – et chef-d’œuvre du sympathique cinéaste genevois qui s’est éteint en 2019 à l’âge de 89 ans – doit beaucoup à la jeune Isabelle Huppert. Laquelle, pourtant déjà aperçue chez Sautet, Blier, Robbe-Grillet, Preminger, Boisset, Tavernier et Bertuccelli, s’y révéla pleinement en jeune coiffeuse anti-bovarienne incapable d’intégrer un monde plus huppé, au point de décrocher conjointement les Bafta et David di Donatello de la meilleure actrice étrangère.

« Alliés », à 21h10 sur France 3 - Deux étoiles

de Robert Zemeckis (2016)

Tiré d’une histoire vraie, ce mélange de « Casablanca » et du « Patient anglais » n’atteint évidemment pas l’aura de ces deux titres mythiques auxquels il fait irrémédiablement référence. Il est clair que ce n’est pas le meilleur film de l’auteur de « Forrest Gump » et « Seul au monde ». La mise en scène n’en est pas moins impressionnante et l’ambiance glamour omniprésente.

« L’échappée belle », à 22h15 sur La Une - Deux étoiles

de Paolo Virzì (2017)

Le « road movie » crépusculaire d’un vieux couple confronté au cancer et à la maladie d’Alzheimer est certes bourré de clichés, mais admirablement joué par Helen Mirren et Donald Sutherland.

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