Nicolas Feuz: «J’aime creuser pour comprendre les mécanismes criminels»
Nicolas Feuz met une nouvelle fois son talent d’écrivain, bien renseigné, au service d’un polar au suspense effrayant.
En fin d’année, juste avant Noël, un tueur sème la panique en organisant un jeu de piste immonde via des colis postaux. Sa signature prend la forme de timbres fabriqués à partir de… peau humaine. À la police judiciaire de Genève, c’est l’inspectrice Ana Bartomeu qui est saisie de l’affaire. Elle se lance dans une course contre la montre, aux nombreuses ramifications, pour tenter d’arrêter celui qui est surnommé par les médias « Le philatéliste ».
Est-ce votre quotidien de procureur en Suisse qui vous a inspiré ce polar ?
Partiellement oui, comme pour tous mes romans. La trame est imaginaire, cinématographique, mais tout ce qui touche à l’univers de la police et du milieu judiciaire est exact. Normalement (rire) ! J’insère toujours également des anecdotes réelles, récoltées grâce à mon travail. Et c’est particulièrement le cas dans ce livre !
