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Les «home invasions», le cauchemar des V.I.P.

Des vedettes séquestrées par des hommes armés et encagoulés, prêts à tout pour repartir avec leur butin. Un phénomène en hausse, qui ne concerne pas encore la Belgique, même si on s’y prépare…

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Journaliste au Soirmag Temps de lecture: 6 min

Ils sont artistes, stars de la télé ou voix de radio… Leur point commun ? Ils sont devenus les cibles privilégiées de bandes organisées qui n’aspirent qu’à les dépouiller. Et qu’importe si ces criminels doivent affronter leurs victimes le temps de s’emparer de leurs objets de valeur. Car si certains ont « la chance » de ne pas être présents chez eux pendant le cambriolage – comme Cyril Lignac ou Nikos Aliagas (les cinq auteurs entrés chez ce dernier ont été condamnés mardi 30 janvier à des peines d’un à deux ans d’emprisonnement ferme) –, d’autres subissent un traumatisme qui peut les hanter longtemps. En septembre dernier, l’animateur Bruno Guillon était séquestré chez lui par des voleurs : sa femme a été ligotée et lui a eu un pistolet sur la tempe. Le 20 décembre, la chanteuse Vitaa a subi une expérience similaire. Trois hommes masqués et armés de battes de base-ball se sont introduits chez elle en pleine nuit. Ils ont surpris la vedette, son mari et leurs trois enfants dans leur sommeil.

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