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L’affaire Farewell (2/2)

Les révélations de « Farewell » vont permettre aux Français et aux Américains de porter un coup fatal au KGB.

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Chroniqueur Temps de lecture: 7 min

Nous sommes en 1981. Jacques Prévost, « honorable correspondant » des services de contre-espionnage français, reçoit un message pressant de son « ami » Vladimir Ippolitovitch Vetrov, haut responsable du KGB à Moscou dont il a fait connaissance à Paris dans les années soixante.

À la DST, on a compris que Vetrov cherche à entrer en contact avec les Français, peut-être pour faire défection… L’occasion est trop belle pour la laisser passer, mais comment faire ? Raymond Nart, nom de code R41, sous-directeur de la DST, décide alors par l’intermédiaire de Prévost de confier le contact au chef de l’antenne moscovite de Thomson, Xavier Ameil, un polytechnicien qui n’est pas du tout membre des services secrets mais qui a bien compris que son chef direct, Prévost, doit fréquenter « la grande maison ». Il accepte d’aller au contact de Vetrov, pensant qu’il s’agit juste de « faire passer un message »…

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