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Les explications de Gérard Depardieu après son altercation avec un paparazzi à Rome

Gérard Depardieu aurait agressé Rino Barillari, surnommé le « roi des paparazzi », à Rome.

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Rino Barillari, surnommé le «  roi des paparazzi », accuse Gérard Depardieu de l’avoir agressé physiquement mardi sur la via Veneto en plein cœur de Rome. Ce dernier s’est rendu à l’hôpital, assurant avoir été frappé à plusieurs reprises par l’acteur. Ce dernier a cependant tenu à défendre sa version des faits.

La scène s’est déroulée au Harry’s bar, l’un des établissements les plus courus de la via Veneto, aux environs de 14h00. «  Je l’ai vu via Veneto avec une femme. Je me suis approché pour faire quelques photos », a raconté le photographe de 79 ans, cité par le quotidien romain Il Messaggero. La compagne de l’acteur, Magda Vavrusova, aurait d’abord tenté de s’interposer puis ce fut au tour de Gérard Depardieu.

Via leur avocate, le couple a transmis sa version des faits. Delphine Meillet a ainsi expliqué : « Rino Barillari, aussi connu pour ses photos que pour ses méthodes agressives, a poussé violemment la compagne de Gérard Depardieu ». Magda Vavrusova aurait également confié aux policiers : « Le photographe m’a poussée en touchant mon buste et ma poitrine avec son bras (…) J’ai encore mal, il a été d’une violence extrême ». Elle a également déposé une plainte pour violence.

Déjà des incidents

« Devant la violence de la situation, Gérard Depardieu, qui s’est interposé entre le paparazzo et sa compagne, a chuté et a glissé sur lui », toujours selon l’avocate. «  Le célèbre acteur et sa compagne sont ensuite montés en voiture, le photographe persistant malgré tout ce qui venait de se passer à les matraquer de clichés ».

La compagne de l’acteur se trouve à l’hôpital Umberto I de Rome, a-t-elle précisé, affirmant que «  ce photographe, qui n’en n’est pas à sa première altercation, revendique près de 170 passages aux urgences médicales pour s’être battu avec des célébrités qui refusaient d’être photographiées ».

De son côté, le photographe, joint par téléphone en fin d’après-midi par l’AFP, n’était pas en mesure de répondre : «  Je ne peux pas parler, je suis à l’hôpital ».

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