Dans le détail, le document de près de 100 pages, fruit d’un travail de « deux ans », vise deux autres délits : mise en danger d’autrui ou abstention de combattre un sinistre.
La néobanque, dont le siège est à Berlin, fait l’objet d’une surveillance de la Bafin depuis 2021 portant sur l’application de mesures de lutte contre le blanchiment d’argent sur sa plateforme.