Accueil Soirmag Histoire

Delvaux entre en gare

Le musée Train World, à Bruxelles, célèbre le peintre belge disparu il y a 25 ans et expose ses toiles en lien avec le rail.

Article réservé aux abonnés
Journaliste Temps de lecture: 3 min

Toujours il aima les trains. Enfant, Paul Delvaux allait les voir manœuvrer à la gare d’Antheit où il passait ses vacances et, jeune homme, il restait des heures entières dans la gare de marchandises du Luxembourg à regarder et croquer les machines crachant des tourbillons de vapeur et les cheminots s’affairant le long des voies ferrées. Tout comme il aimait à Bruxelles voir passer les trams qui roulaient sur la rue de la Régence, près de laquelle il habitait. Cet amour pour « tout ce qui roule sur des rails » ne le quitta jamais. Il fut même un des thèmes récurrents de son œuvre surréaliste. Souvent, et de plus en plus fréquemment même à partir des années 50, il peignit des gares désertées et des trains fantomatiques, nous emmenant dans des voyages poétiques et des rêveries énigmatiques.

Cet article est réservé aux abonnés

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

J'en profite

Aussi en Histoire

Voir plus d'articles

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs