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Jacques Mesrine: l’instinct de mort

40 ans après sa disparition, l’ex-ennemi public no1 reste le criminel le plus médiatisé de France.

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Paris, vendredi 2 novembre 1979. Surveillé par les policiers de la Brigade de Recherche et d’Intervention commandés par le commissaire Broussard, Jacques Mesrine s’apprête à quitter la ville avec sa compagne. Peut-il supposer à cet instant que son parcours criminel va prendre fin de façon brutale, porte de Clignancourt ? Après quelque 18 mois de cavale, certainement pas, même s’il avait juré qu’il ne retournerait jamais en prison. Et que sa fin serait tragique. L’instinct de mort, toujours.

Il est 15h15, les policiers décident d’agir, en pleine circulation, aidés par le trafic de cette fin de semaine. Les flics coincent alors sa BMW et ouvrent le feu sans sommation, sachant qu’il est armé et porteur de grenades. Mortellement touché, Mesrine, 42 ans, s’affale sur le volant. Sa compagne, présente à ses côtés, est quant à elle grièvement blessée. En quelques minutes, la carrière du truand prend fin, vingt ans après son premier crime.

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