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L’histoire du sparadrap moderne des années 20 à nos jours

Au départ, il voit le jour pour panser les plaies des soldats. Puis il fait son chemin jusqu’au plus petit bobo du quotidien.

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Journaliste Temps de lecture: 4 min

Comment soulager ? Comment éviter que la blessure ne s’infecte en évitant le contact avec l’air et ses miasmes ? Depuis l’Antiquité, la médecine se posait ces questions. Au XIIIe siècle, un début de réponse fut apporté. Un morceau de tissu avec quelques produits actifs et adhésifs. L’ancêtre du sparadrap était né. Il entre désormais dans l’armoire à pharmacie de tous les foyers. À l’origine, il ne sert cependant pas à soigner les petits bobos. On y a recours pour traiter les blessures occasionnées à l’arme de guerre. Les plaies sont importantes. Il faut les couvrir, en respectant les règles d’hygiène. Le sparadrap est une défense. Il va évoluer avec le temps. L’homme ne pourra plus s’en passer. Bien plus tard, Louis Pasteur le fait évoluer : il n’adhère plus à la plaie et protège du milieu extérieur. Le savant français met en évidence les germes infectieux. Avec Henri Dunant, fondateur de la Croix-Rouge, il insiste sur une nécessaire désinfection.

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