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Covid et pollution, les ennemis associés

Selon une étude, les particules fines dans l’air seraient responsables de 21 % des morts du coronavirus chez nous. Explications.

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Rédacteur en chef Temps de lecture: 3 min

Dans son édition d’avril, le « National Geographic » fait le point sur une étude de l’Université de Harvard qui a croisé les données liées à la pollution de l’air et celles des décès dus au Covid-19 en 2020. Les premiers résultats concernant les USA ont d’abord montré que les personnes atteintes par le virus et qui vivent dans des comtés avec des niveaux élevés de pollution atmosphérique sont plus susceptibles (+8 %) de mourir de la maladie virale que les personnes vivant dans des zones peu polluées. Les chercheurs ont ensuite élargi leur étude au monde entier, comparant les chiffres de mortalité par pays et leur niveau de pollution atmosphérique par les particules très fines appelées « PM 2,5 » (leur taille fait moins de 2,5 microns).

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