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Le cerveau belge des attentats de Paris

Le procès débute ce 8 septembre. Le Belgo-Marocain fait partie des accusés, malgré sa mort probable. Christophe Lamfalussy et Georges Dallemagne ont enquêté sur ce Bruxellois devenu cadre de Daech et sur les approximations des autorités belges.

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Journaliste au Soirmag Temps de lecture: 6 min

La cour d’assises spéciale de Paris s’apprête à vivre un moment judiciaire d’exception. Les chiffres de ce procès XXL, prévu pour durer huit mois et demi, parlent d’eux-mêmes : 1.800 parties civiles, 330 avocats, neuf juges professionnels… Et vingt hommes – dont Salah Abdeslam dans le box des accusés – mis en cause pour leur implication dans les attentats du 13 novembre 2015, qui ont fait 133 morts et 413 blessés. Oussama Atar sera jugé en son absence. Considéré comme le cerveau des attaques terroristes de Paris, le Belgo-Marocain né en 1984 serait vraisemblablement décédé en 2017 en Syrie. L’absence de preuves formelles de sa mort pousse la justice française à le juger malgré tout. Dans « Le clandestin de Daech » (aux éditions Kennes), le grand reporter de «  La Libre

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