Trois questions à Hervé Meillon, homme de médias
Son nouveau livre, « Jacques Brel, couleurs Maroc », édité chez M La Suite Éditions, met en lumière l’amour que le chanteur belge portait au Maroc.
D’où vous vient votre passion pour Jacques Brel ?
Je ne peux pas me décrire comme un fan de Brel ! Je l’ai découvert un peu par hasard quand j’étais jeune. J’entendais ses chansons chez Raymond Peyre, un homme de mon village du Dauphiné. Je lui dédie d’ailleurs ce livre. C’était le papa d’un de mes amis et il chantait toujours des titres de Brel.
Comment est née l’idée de raconter ce lien entre Brel et le Maroc ?