Accueil Jacques Pradel raconte

La veuve rouge de Félix Faure

La culpabilité de Marguerite Steinheil dans le double crime de l’impasse Ronsin n’a jamais pu être prouvée malgré un procès à grand spectacle.

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Chroniqueur Temps de lecture: 6 min

L’affaire commence dans la nuit du 30 au 31 mai 1908, dans une villa du 15e arrondissement de Paris habitée par un couple, les Steinheil, et leur fille. Nous sommes impasse Ronsin, une ruelle calme et champêtre, qui s’ouvre sur la rue de Vaugirard. La maison de trois étages est entourée d’un jardinet. Le rez-de-chaussée, éclairé par une grande verrière, comprend un salon et une salle à manger. Au premier étage, on trouve trois chambres, un bureau et un cabinet de toilette. Le deuxième étage est réservé à l’atelier du mari, Adolphe Steinheil, artiste peintre et verrier. Le dernier niveau est occupé par les combles et les chambres des deux domestiques.

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