La diva et le prince paumé
L’édito de Marc Pasteger.
Il était une fois une ravissante jeune femme sacrée célébrité internationale grâce à une série à succès : « Suits ». Meghan Markle, plutôt bonne actrice dans cette excellente saga d’un cabinet d’avocats new-yorkais, fit rapidement fantasmer d’innombrables téléspectateurs. Son fan le plus célèbre n’était autre que le prince Harry, petit-fils de la reine d’Angleterre, fils de la légendaire Lady Diana et frère du futur roi, William. Ils se marièrent sous les regards admiratifs d’un public qui, lorsqu’il n’était pas ébloui par la belle histoire d’amour, soulignait à quel point Meghan, femme de couleur et divorcée, symbolisait une nouvelle ouverture d’esprit chez les Windsor. Jusqu’alors, le nouvel emploi que tenait Meghan Markle semblait taillé pour elle. Mais, à ses yeux, actrice de formation et de métier, il ne s’agissait que d’un rôle. Dont elle se lassa vite.