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À la télé ce soir: «Salvatore Adamo, quand je chante» ou «Le Saint»

Votre sélection pour ce lundi 8 août, à ne pas manquer !

Temps de lecture: 3 min

« Salvatore Adamo, quand je chante », à 22h10 sur La Une

Il y a soixante-quinze ans, la Belgique signait l'accord charbon contre main-d'oeuvre. L'Italie ne se doutait alors pas qu'elle renonçait à l'une de ses voix les plus singulières, qui allait marquer plusieurs générations et laisser sa trace indélébile dans la chanson française. Aujourd'hui, cet enfant d'immigrés siciliens arrivé en Belgique à l'âge de 3 ans incarne soixante ans de succès et de vie sur scène à travers le monde. Après un concert au Théâtre royal de Mons, Salvatore s'est assis au premier rang de sa vie. Avec lui, et avec la contribution exceptionnelle de sa discrète épouse et le regard de ses proches, on passe en revue les étapes d'une carrière exceptionnelle.

« Le Saint », à 22h35 sur Club RTL

Interne dans un collège anglais d'Extrême-Orient, Jean Rossi assiste à la mort d'Agnès, jeune pensionnaire dont il est épris... Plusieurs années après, à Moscou, un mystérieux individu pénètre par effraction dans la salle des coffres de la société des gaz et pétroles Tretiak, où se tient une réunion au sommet. A peine a-t-il dérobé un microprocesseur de la plus haute importance que le cambrioleur doit faire face à Ilya, le fils d'Ivan Tretiak, chargé de la sécurité. Habile et rusé, l'inconnu parvient à s'échapper et passe la douane sans encombre. A Londres, Simon Templar dit «Le Saint» se met à la recherche d'un nouveau contrat juteux qui lui permettrait de se retirer.

Les étoiles de Dominique Deprêtre

« Le dernier vice-roi des Indes », à 20h50 sur Arte - Trois étoiles

de Gurinder Chadha (2017)

Si l’ombre de Churchill plane de façon toujours sujette à caution – car jamais démontrée – sur la réelle paternité du drame ethnique qui causa la mort d’un million de réfugiés en quelques mois, cette évocation de l’indépendance indienne sous Lord Mountbatten est exceptionnelle, fruit d’une longue tradition de la BBC, de surcroît terreautée par une de ses plus brillantes élèves, elle-même d’origine indienne, et dont la famille a vécu intensément les événements.

« La mémoire dans la peau », à 21h10 sur TMC - Trois étoiles

de Doug Liman (2002)

Rares sont les films d’action américains qui, depuis ce début de siècle, ont rassemblé autant de qualités que les trois volets des mésaventures de Jason Bourne, dont celui-ci est le premier. Une intrigue prenante, des rebondissements intelligents et une ambiance de mystère permanente : Hitchcock n’est vraiment pas loin.

« En pleine tempête », à 20h05 sur Club RTL - Deux étoiles

de Wolfgang Petersen (2000)

Grand passionné de la mer, l’auteur de « Das Boot » abandonne l’ambiance mystérieuse des profondeurs pour hisser à la surface un frêle esquif qui, bien que barré par George Clooney en personne, n’a aucune chance face à la tempête en question qui se fait un peu trop attendre.

« Les fugitifs », à 21h10 sur France 3 - Deux étoiles

de Jacques Veber (1986)

Après « La chèvre » et « Les compères », ce fut la troisième et dernière comédie de l’auteur avec le tandem Richard/Depardieu très en verve à l’époque. Humour souvent naïf et un peu téléphoné, mais très plaisant grâce à la complicité jubilatoire des deux acteurs.

« Le journal d’une femme de chambre », à 21h10 sur C8 - Deux étoiles

de Luis Buñuel (1964)

D’après Octave Mirbeau, un portrait austère, ambigu et malsain de la bourgeoisie française des années trente. Sans couleur ni musique, la chronique s’articule essentiellement autour de Jeanne Moreau et Georges Géret, exceptionnels. Mal accueilli à sa sortie, devenu très cinéphilique depuis.

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