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La terreur selon Poutine

L’édito de Benoît Franchimont.

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Rédacteur en chef Temps de lecture: 2 min

Avec le décès d’Alexeï Navalny, pourtant déjà lourdement condamné et emprisonné dans un goulag de Sibérie, Vladimir Poutine adresse un nouveau message glaçant à ceux qui tenteraient encore de s’opposer à lui : c’est la mort qui les attend. La liste des assassinats est longue déjà, d’Alexandre Litvinenko, ancien agent des services secrets russes, passé à l’Ouest en 2000 pour dénoncer les pratiques de Poutine et empoisonné au polonium en Grande-Bretagne, à Evgueni Prigojine, le patron du groupe paramilitaire Wagner, abattu dans son avion en 2023 après une tentative de coup d’État. On citera aussi Anna Politkovskaïa, journaliste qui dénonçait les exactions russes commises en Tchétchénie, tuée par balles en 2006 chez elle, le jour de l’anniversaire de Vladimir Poutine.

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