Accueil Actu Soirmag

Surdoué, il décroche un poste de chercheur universitaire… à 7 ans

Doté d’un QI de 145, Laurent Simons est un enfant unique.

Temps de lecture: 2 min

Si on le surnomme déjà le « petit Einstein  », ce n’est pas pour rien. À tout juste 7 ans, Laurent Simons est un véritable génie. Alors que ses camarades de classe jouent aux jeux vidéo ou aux hand-spinner, Laurent vient – aussi incroyable que cela puisse paraître – d’intégrer l’équipe de chercheurs de l’Academisch Medisch Centrum (AMC) d’Amsterdam, où il effectue des recherches un jour par semaine.

Un bel avenir en cardiologie

Pas plus haut que trois pommes, ce jeune garçon originaire d’Ostende et vivant aujourd’hui à Amsterdam a assurément une tête bien faite. À 7 ans, Laurent Simons est ce qu’on appelle un «  high po », soit un «  haut potentiel  » doté d’un QI de… 145, qui le place largement au-delà de l’échelle standard.

Interrogé par De Morgen, le père, dentiste de profession, se dit très fier de son fils : « Il aborde les choses d’une manière différente. Il a tellement de capacité que ce serait dommage de les voir s’évaporer  ». « Il cherche encore dans quel domaine il aimerait s’orienter, mais cela aura probablement quelque chose à voir avec la cardiologie  », poursuit le père avant d’expliquer la raison de cette orientation : « Ses grands-parents sont cardiaques et ce sont vraiment des personnes qui lui sont très chères. Il rêve de pouvoir les aider  ».

Sollicité par les plus grandes universités

Le petit génie est très tôt accompagné par son père, puis remarqué par ses enseignants. Année après année, il saute des classes. À 6 ans, il engloutit la saga entière des livres « Harry Potter », maîtrise le français et l’allemand du niveau d’un jeune de troisième secondaire. « Son programme, qui avait déjà été adapté en janvier, est déjà complètement obsolète », précise le père au journal.

Nul doute que le petit génie, déjà repéré par de prestigieuses universités, est promu à un bel avenir. À 7 ans, Laurent Simons a d’ailleurs été invité par l’université d’Oxford pour un congrès sur la médecine.

Notre sélection vidéo

Aussi en Société

Voir plus d'articles

À la Une