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Confinement et déconfinement: les enfants en danger

Eux aussi courent des risques : d’isolement, de décrochage scolaire malgré une « mini-rentrée » ce 18 mai, de soins défaillants, de mauvais traitements, sans parler du danger, non levé, de possible contagion qu’on leur impute. Mais des anges gardiens veillent sur eux.

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Journaliste Temps de lecture: 6 min

Ils sont les victimes collatérales du coronavirus : plus de cours sauf pour quelques-uns d’entre eux accueillis à l’école, plus de contact avec papy et mamy, des vacances de Pâques (avec une météo radieuse comme jamais) à la maison, plus de copains, mais un retour progressif en classe prévu le 18 mai en maternelle, primaire et secondaire… Le confinement à hauteur d’enfant est aussi une punition. Une punition pour eux et un casse-tête pour les directeurs d’établissements. Les classes seront peu remplies avec dix élèves maximum, le port du masque requis dès 12 ans, deux masques lavables par enfant et par enseignant, récrés distanciées, 8 m2 pour le prof, 4 m2 pour l’élève, pas de repas chaud, classes désinfectées. Priorité aux terminales. Le tout décidé par le gouvernement Wilmès, la Fédération Wallonie-Bruxelles et le Conseil national de sécurité. Trop tôt ? Des parents le pensent et s’en inquiètent. Des profs s’arrachent déjà les cheveux.

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