«Fontinoy disait toujours de ne pas oublier l’enveloppe!»
Philippe Engels, que voulez-vous démontrer dans cet ouvrage très à charge contre Didier Reynders et son bras droit, Jean-Claude Fontinoy ?
Mon livre traite du danger du pouvoir absolu. Une caractéristique de mon journalisme depuis un certain temps, c’est que je me permets une grille de lecture qui découle d’un travail d’investigation. Je travaille sur Jean-Claude Fontinoy depuis plus de cinq ans. Didier Reynders, je l’ai suivi depuis son arrivée au pouvoir en 1999. Cette grille de lecture n’est pas du journalisme neutre, je l’assume. Mais derrière, je mets en lumière des faits, des dates, des déplacements. Dans le livre, je les étaie par des preuves, parfois des documents et des photos.
Vous révélez l’existence de cette photo de matériel électoral dans le coffre de la voiture de fonction de Jean-Claude Fontinoy…