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Un siècle de scandales à Buckingham (7): les frasques d’Andrew le tombeur

Le fils préféré de la Reine fut un militaire d’active en première ligne mais, avant même le scandale Epstein, la presse s’est toujours fait l’écho des aventures du « prince play-boy » et de son comportement hautain.

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Journaliste Temps de lecture: 7 min

La dernière apparition du prince Andrew a encore fait jaser. C’était le samedi 17 avril dernier, aux funérailles de son père, le prince Philip. D’abord, on apprenait qu’il voulait arborer son nouvel uniforme d’amiral pour l’occasion, alors que sa promotion militaire prévue à l’occasion de ses 60 ans (en février 2020) a été postposée sine die à cause de l’affaire Epstein. Un port d’uniforme qui aurait été, du coup, très mal vu de la Royal Navy. « No way ! » de la Reine. Ensuite, la presse britannique n’a pas manqué de signaler le fait qu’Andrew est reparti de la cérémonie à bord de sa toute nouvelle Bentley Flying Spur verte, de 250.000 euros. Un mauvais procès sur ce point, puisque l’ensemble des membres de la Famille royale roule dans des véhicules d’un luxe absolu. Mais le fait est que le prince Andrew est devenu l’objet de toutes les critiques.

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