Julian Bugier présente ses excuses après une bourde lors du journal de 13h sur France 2: «J’ai fait une erreur» (vidéo)
Ce jeudi 10 novembre, le journaliste de France 2 a enchaîné les couacs lors de son journal de 13h.
« Une bonne chose de faite » a probablement dû penser Julian Bugier à la fin de son journal de 13h ce jeudi 10 novembre. Alors que la grève s’abat sur la France, le présentateur a dû assumer un journal avec une équipe en sous-effectif. Ce qui explique pourquoi le journal diffusé en direct a eu plusieurs soucis. Un enchaînement de problèmes techniques qui se sont fait remarquer dès le lancement du premier sujet.
Alors que Julien Bugier était en train de réciter le lancement de son premier reportage, rien n’est apparu à l’écran. Tout en gardant son sang-froid, il a alors expliqué : « Voilà, sujet qu’on découvrira un peu plus tard, me dit-on dans l’oreillette. On a quelques problèmes techniques aujourd’hui en régie. Ça arrive ». Ne se laissant pas démonter par cet incident, le présentateur a pu présenter une nouvelle fois le sujet plus tard au cours du journal.
« Dans la panique »
Mais les problèmes ne se sont pas arrêtés là. « Rien de grave », a-t-il précisé lorsque quelques instants plus tard, un reportage sur le navire humanitaire Ocean Viking a été interrompu par des images d’un tout autre sujet. Julian Bugier, visiblement très perturbé par les couacs techniques à répétition, s’est emmêlé les pinceaux au cours d’un sujet. Mais ne souhaitant pas laisser sa bourde dans les mémoires des téléspectateurs, Julian Bugier a rectifié juste avant de rendre l’antenne. « Une petite correction, j’ai fait une erreur tout à l’heure dans la panique des problèmes techniques. Évidemment Saumur est dans le Maine-et-Loire et non pas la Sarthe. Saumur dans le Maine-et-Loire, bien sûr ».
Pour ne pas laisser les fidèles du 13h dans l’incompréhension face à ce journal un brin chaotique, la vedette du journal a tenu à fournir des explications à la toute fin du bulletin d’informations : « Fin de ce journal réalisé dans des conditions, vous l’avez compris, particulières en raison d’un mouvement de grève d’une partie du personnel ».
