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Le charme désuet et british des Bristol

Sacrées voitures (13).

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Journaliste Temps de lecture: 3 min

Voici deux ans disparaissait sous liquidation judiciaire et dans l’indifférence générale l’un des plus discrets fleurons de l’automobile de luxe britannique. La marque Bristol s’était spécialisée depuis 75 ans dans la fabrication presque artisanale de confortables coupés essentiellement destinés à une clientèle aussi fidèle que fortunée et… très peu évolutive. Bristol, c’était avant tout un constructeur aéronautique, connu depuis la Grande Guerre par son fameux chasseur lourd F2 « Fighter » – dont un exemplaire fut l’avion privé de notre souverain Albert Ier – puis par son chasseur biplan « Bulldog » de la fin des années 20 et, enfin, par ses bimoteurs Beaufort, Blenheim et Beaufighter de la Royal Air Force engagés sur tous les fronts de la dernière guerre. Et c’est précisément au lendemain de celle-ci que l’entreprise sise dans la ville éponyme de l’estuaire de l’Avon hérite d’une division automobile. Une nouveauté imposée par un dommage de guerre.

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