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À la découverte de la profession de colombophile

En Belgique, certains passionnés continuent d’élever des pigeons voyageurs, même si ce sport perd, année après année, de plus en plus d’affiliés. Plongée au cœur d’un monde où l’oiseau est roi et où l’humain est aux petits soins.

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Journaliste au Soirmag Temps de lecture: 2 min

La Belgique compte le plus grand nombre de colombophiles au kilomètre carré au monde. Il faut dire que des concours y sont organisés, comme dans le nord de la France, depuis le début du XIXe siècle. Pourtant, cette spécificité noir-jaune-rouge perd en ampleur au fil des ans. Jugez plutôt : ce sport comptait 250.000 licenciés en 1950 !, pour seulement 20.000 en 2017. Les sociétés colombophiles du plat pays disparaissent les unes après les autres. Dans le « milieu », qui se digitalise et évolue, il se murmure que l’élevage de pigeons de compétition n’intéresse plus les jeunes.

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