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Le mariage n’est plus à la fête

Étranglé par le confinement, le secteur accumule les pertes, les reports, voire les annulations. Il faut desserrer les contraintes, réclament les professionnels.

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Journaliste Temps de lecture: 4 min

Vive les mariés ! » Ce cri de joie résonne moins souvent à l’église et à la maison communale avec la pandémie. Le « grand jour » bat de l’aile. On ne compte plus les mariages ajournés avec leur lot de regrets et de dépenses perdues. La Fédération belge des prestataires de mariage (FBPM), qui regroupe tous les acteurs de cette profession en crise, s’alarme. Sa vice-présidente, la Bruxelloise Isabelle Ghosez, fait ses comptes. Le bilan n’est pas bon. À la tête de « Be Your Guest », elle dispose d’un poste d’observation fiable. Le secteur fait les frais du double confinement. L’effet domino joue à plein : location de salle, traiteur, orchestre, DJ, wedding planer, fleuriste, coiffeur, esthéticienne, animation, tailleur, éclairagiste, créateur de robes de mariée, photographe, voitures insolites, bijoutier et même voyage de noces coincent.

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