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«Miracle» au Vatican

13 mai 1981, place Saint-Pierre de Rome. Le pape Jean-Paul II, très gravement blessé par balles, survit à l’attentat.

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Chroniqueur Temps de lecture: 7 min

Aujourd’hui encore, 41 ans après les faits, de nombreuses zones d’ombre n’ont toujours pas été dissipées. Ce jour-là est un mercredi, jour d’audience publique du Pape à la cité du Vatican. C’est l’occasion d’un bain de foule traditionnel que Jean-Paul II apprécie particulièrement. La Jeep décapotable blanche du Saint-Père, qu’on appelle « La Campagnola », entame un second tour de la place Saint-Pierre, sur laquelle sont massés plus de 20.000 pèlerins.

À bord de la voiture, le pape est accompagné de son secrétaire personnel, Stanislas Dziwisz, et de son camérier, Angelo Gugel. La journée est belle, bien qu’un peu fraîche. La voiture frôle les barrières qui contiennent une foule enthousiaste, pour que le Pape puisse s’approcher le plus près possible des fidèles. Jean-Paul II serre en souriant des centaines de mains. Il vient même de prendre dans ses bras et d’embrasser une petite fille blonde que lui tendent ses parents…

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