Essai de la Kawasaki Z500SE: l’humble destrier
Ne dites plus Z400 mais Z500 SE. Kawasaki renouvelle son roadster de moyenne cylindrée. L’objectif ? Séduire toujours plus de permis A2. La recette ? Une bonne base peaufinée animée par un nouveau bloc.
Non, Kawasaki ne fait pas du neuf avec du vieux ! Disons qu’ils ont gardé les éléments efficaces de la Z400 et y ont greffé diverses nouveautés, qui rendront toujours plus séduisante la demoiselle. Si son châssis reste inchangé, il accueille un nouveau bicylindre en ligne de 451 cm³ développant 45 ch à 9.000 tr/min et 42 Nm de couple dès 6.000 tr/min. Une puissance disponible plus tôt que sur la 400, afin d’offrir davantage de punch. Visant les jeunes permis, la Z500 SE joue évidemment la carte de la maniabilité. Une aptitude qu’elle doit à sa géométrie étudiée pour convenir à un usage citadin, grâce à sa hauteur de selle de 785 mm et sa taille affinée qui rendent sa conduite aisée. Pour autant, le plaisir d’une balade dominicale n’est pas négligé grâce à une mécanique vivante et un moteur pleinement exploitable, même s’il faudra le maintenir au-delà des 6.000 tr/min pour ressentir son plein potentiel.
