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Le Maitrank, de Prüm à Arlon

L’histoire à table de la semaine.

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Journaliste Temps de lecture: 3 min

Le quatrième couplet de la chanson du « Maitrank » nous l’assure : « Point n’est besoin de vanter plus longtemps/Les vertus de ce magique breuvage/Aux femmes, il épargne les outrages du temps/ Aux hommes, il offre encore bien davantage. » Mais quelle est donc l’origine de cette spécialité d’Arlon que chouchoute la désormais « royale » confrérie du même nom ? Pour connaître la réponse, il semble qu’il faille remonter jusqu’au IXe siècle, en 854 plus précisément, lorsqu’un certain Wandalbert, moine de l’abbaye bénédictine de Prüm, en Allemagne, en mentionne pour la première fois l’existence. La « boisson de mai » (sa traduction littérale) n’était au départ pas destinée à être dégustée sur le mode festif.

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