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Taxée de «machine à clashs», Christine Angot répond à ses détracteurs

Celle qui prend place au côté de Yann Moix chaque semaine règle ses comptes.

Temps de lecture: 2 min

Elle est sortie de son silence. Sous le feu des critiques depuis qu’elle a succédé à Vanessa Brugraff dans l’émission « On n’est pas couché », Christine Angot a tenu à répondre à ses détracteurs. Lors d’un entretien accordé au Figaro, la dramaturge française est revenue sur les critiques violentes dont elle a été la cible depuis septembre dernier.

Plusieurs altercations

Il faut dire que ces derniers mois, Christine Angot n’a pas épargné ses nombreux invités. On retiendra notamment le vif échange entre la polémiste et Sandrine Rousseau, venue présenter son livre contre les violences faites aux femmes. Une séquence sur laquelle la chroniqueuse de Laurent Ruquier est revenue dans Le Figaro. « Elle pleurait, bon d’accord, elle pleurait. Mais je n’ai jamais été contre elle, bien au contraire  » affirme Christine Angot. « C’est sa phrase à propos des gens ’formés pour recueillir la parole’ qui m’a fait réagir. Je suis bien placée pour vous dire que, quand vous avez une difficulté, les gens qui sont là pour recueillir la parole sont sourds », explique-t-elle.

« Je ne suis pas une machine »

L’avocat Éric Dupond-Moretti, l’humoriste Jéremy Ferrari, le chanteur Gauvain Sers et l’animateur Jean-Luc Reichmann… Depuis le mois de septembre, les prises de bec se succèdent… Mais la romancière se défend d’être « une machine à clashs  » comme certains le prétendent. « Je ne suis pas une machine à clashs. Et, déjà, surtout, je ne suis pas une machine. J’essaie toujours de passer sur les côtés, je n’y vais jamais frontalement. Cela ne m’intéresse pas de blesser les gens. Je n’ai pas conscience des proportions que ça prend  », confie l’ex compagne de Doc Gynéco.

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