Philippe Geluck: «J’ai encore foi en une partie de l’humanité»
Le dessinateur du « Chat », parfois piquant, toujours bienveillant, clôture une délicieuse trilogie avec un album politiquement incorrect : « Geluck pète les plombs ».
Vous auriez voulu vous séparer du « Chat » pour ce projet, mais il vous a suivi jusque sur la couverture ! Mais c’est parce qu’il connaît bien son pouvoir de séduction ! (Rires.)
Il sait qu’il attire les foules, et puis après tout, je lui ai laissé faire une ou deux apparitions dans l’album, donc ce n’est pas si grave
.Vous avez une réputation presque angélique dans les médias. Cet album vous en affranchit un peu ?